Philippe Delerm (éditions Points) au sujet de son fils, Vincent Delerm, et de ceux qui gardent leur enfance et leur maison très clair, très fort.
Merci pour vos adorables petits mots qui me parviennent au sujet de « Quatre murs et un toit », je souhaite à tout le monde (sauf à la dame qui s’occupe de mes colis au point presse du quartier) de vivre une période comme celle qui accompagne la sortie d’un nouveau roman, une sorte d’anniversaire qui se prolonge bien après que les bougies soient soufflées.
Je suis un peu en retard pour poster ce petit mot, mais je viens de terminer la lecture de votre dernier roman » quatre murs et un toit » qui m’a particulièrement touchée car nous venons de vendre notre Mas et bien que nous n’y ayons vécu que ces 20 dernières années ( nous en avons 70 et plus!) et que nos souvenirs ne se soient pas au même niveau que les vôtres, le ressenti est proche et la séparation d’avec la maison » doucement » déchirante aussi ( c’est ce que j’ai ressenti à la lecture de votre récit).
Nous ne nous connaissons que par voie téléphonique et virtuelle, mais pour ma part, je pense, que d’un certain côté nous nous ressemblons ( comme une petite fille peut ressembler à sa grand mère…).
J’espère qu’un jour nous aurons l’occasion ( le plaisir pour moi) de nous croiser.
Je vous envoie plein d’ondes positives pour la bonne diffusion de votre livre, accompagnees d’amicales pensées.
Martine ( la » belle grand mère « !)
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